Kanda-service

Lia se trouvait seule dans sa chambre à bouquiner, ses longs cheveux noirs coulant sur ses épaules. Elle regarda vaguement la pendule, 0h12... Arf, il commençait à être tard. Elle n'arrivait pas à dormir, mais qu'est-ce qui pouvait gêner une jeune fille qui avait sommeil ? Un bon mal de tête. Elle se leva et farfouilla dans ses tiroirs pour chercher un médicaments histoire de faire passer ça. Elle n'en avait pas... Lia poussa un soupir et essaya de réfléchir malgré la douleur. L'infirmerie était fermée à cette heure ci, et Yume devait sans doute trainer dans le jardin. Elle renvoya ses cheveux dans son dos avant de se souvenir d'un détail. Ah mais oui ! Kanda ! Le jeune homme grincheux à qui elle avait prêté son élastique. Il lui devait quelque chose en retour non ? Elle se regarda... Elle avait sur elle sa nuisette mauve. Mouai... Un peu trop déshabillé pour aller voir un garçon, ce n'était pas très sérieux. Du coup, elle enfila un peignoir de la même couleur par dessus, histoire d'être un peu plus habillée.

Poussant la porte de sa chambre, elle vit le couloir désert. Elle ferma derrière elle et marcha silencieusement jusqu'à atteindre le couloir des garçons... .... .... Ah ! Yu Kanda ! voila sa chambre. Lia frappa doucement à la porte.

- Kanda-Kun ! C'est Lia ouvres moi !

Fit-elle en regardant autour d'elle pour qu'un surveillant ne l'attrape pas.

Il était déjà tard le soir quand je me décidais à prendre ma douche, je viens de sortir de ma douche mes cheveux trompe, il fesse frai, normal la fenêtre grand ouver tu parle que je peus avoir froi, je la ferma, je jeta un cou d'oeul a ma chambre, je détestais ma chambre Le sol était froid, les murs blancs ou gris et chaque pas résonnait, mais bon c'est le sol endroit ou je peu être en paix, normalement a cette heur si je suis plutôt de heure, mais cette fois-ci, je n'avais pas envie. Je voulais me retrouver seule pour me détendre et oublier la personne que je suis ou plutôt la personnes que j'essaye d'être, je malonga sur mon lit pour lire un livre ou deux, j'entendit toquer a la porte de ma chambre:

- Kanda-Kun ! C'est Lia ouvres moi !

sons bouger de mon lit:

" pfffff oui entre lia"

Une voix ronchonne me répondit au travers de la porte. Pas de doutes, c'était bien lui. Tch' une jeune fille venait le voir dans sa chambre et il râlait ? Non mais ho ! qu'est-ce que c'était que ce jeune homme râleur ? Lia poussa la porte en se tenant la tête, c'était douloureux et elle détestait ça. C'est donc avec une mine moins souriante qu'à son habitude, une voix moins gentille qu'elle lui demanda.

- Excuses moi de t'embêter, mais tu aurais un cachet pour le mal de tête ? Je n'arrive pas à dormir.

Elle jeta tout de même un regard à Kanda, il avait ses longs cheveux noirs détachés et était nonchalamment allongé sur son lit. Un truc normal quoi, mais elle n'était pas habituée à le voir aussi détendu. Elle détourna la tête en rougissant, n'ayant pas calculé à quel point cela pouvait être embêtant de recevoir une fille chez lui à pareille heure alors qu'il était au calme.

- ... Désolée.

"TCH'.. oui tu m'embête, mais je boi avoir un cachet pour le mal de tête"

D'un naturel calme, je marchais pieds nus, habillée dun pantalon noi et en tees-hirt son monche noir lui aussi, javensai jusque a la porte de ma saldebin, J'ouvris la porte d'un coup, je me pri le coing de la porte, il fau dir que je n'ai pas labitude que quelquin vien ici et en pluse une fille, je pri le cachet et le tendit a lia, tout t'en me frotent la tête.

La jeune fille eut un geste réflexe quand elle entendit le bruit caractéristique d'une tête qui heurte une porte. Ce n'était pas qu'elle s'inquiétait pour lui, c'est juste qu'elle s'inquiétait tout le temps pour tout et tout le monde. Mais ça semblait aller il revint avec un cachet mais la jeune fille n'y pensait presque pas. Elle s'inquiétait un peu plus pour le jeune homme qui massait sa tête sur le coup de la douleur. D'une main douce elle souleva une mèche de ses cheveux pour regarder à l'endroit ou ça avait frappé. Il avait une petite marque rouge sur le front, assez visible en fait. Elle fit une grimace en la voyant et lui dit.

- Fais attention un peu, tu risques de te faire vraiment mal un de ses jours... D'abord un ballon et maintenant ça, tu le fais exprès ma parole !

Quen elle passa sa main sur mon front je fit de gros yeux et comme un crétin me mi a rougir, je lui repoussa la main.

"ça va se n'ai rien"

il fau dir que jeté un peu gêne, un joli fille et jeté pas aveuqule a son charme bref.


" non je ne fai pas exprès lia "

Lia lui sourit gentiment et finit par pousser un soupir.

- Tu devrais t'ouvrir un peu aux gens, tu es gentils même si tu râles sans arrêt.

Puis elle retourna vers la porte d'entrée. C'est vrai c'était dommage qu'il repousse toujours tout le monde, c'était un garçon très bien mais qui était toujours agressif envers tout le monde. Pourtant elle ne lui ferait jamais de mal, ce n'était pas dans sa nature. Elle se retourna après quelques secondes pour lui dire simplement.

- Tu gardes mon élastiques et moi je te prends ce cachet en échange, comme ça on est quitte !

Fit-elle en souriant.

Je massi sur mon lit la regarda droi dans les yeux, mais quelque chos avai changer dans mon regar qu'en elle me dit set quelque mot: Tu devrais t'ouvrir un peu aux gens, tu es gentils même si tu râles sans arrêt, c'est vai je n'ai jamai reuçi a fair se ci a m'ouvrir, en fête je croi que je ne veu plus m'ouvrir a quoique se soi, se un question lourde sur mon passer,


"M'ouvrir au gens je n'ai aucune reson de m'ouvrir"

Lia s'arrêta, elle avait la main sur la poignet de la porte. Elle poussa un soupir. C'est vrai, quand on était éternellement seul et protégé comme ça, pourquoi voudrait-on laisser quelqu'un nous connaitre ? C'était des chances supplémentaires de souffrir. Elle se retourna et lui adressa un petit sourire. Elle s'avança vers lui et, saisissant son menton pour lui relever la tête elle lui déposa un léger baisé sur le front, ses cheveux et son peignoir de satin venant caresser son visage. Elle s'éloigna rapidement, histoire d'éviter qu'il lui mette une gifle ou autre mais restait souriante.

- Je ne sais pas. Peut-être que des fois ça peut apporter quelque chose.

Fit-elle en se décidant cette fois à sortir de la chambre, après tout, elle le dérangeait, et elle n'aimait pas être un poids pour les gens.

- Après si tu en as assez de me voir, je peux aussi disparaitre... Je n'aime pas gêner les gens... Tu as juste à me le demander.

Elle saisissant mon menton pour me relever la tête et me déposa un léger baisé sur le front, son peignoir de satin venant caresser mon visage. jétait resté pantois durant quelques secondes avant de reprendre conscience. Je rougit. (au de nouveaux lia tout de même sa fai beucou la bref) je la regarda:

" je ne suit pas comme toi lia la joie les sourires ne son pas dans mon vocabulaire"

en fête javai envi quelle reste, mais bon se n'ai pas une chos bien, et en use il et tare si la surveionte la voi elle risque d'avoir de sacre problème.


" non lia je vau que tu me laisse"

Lia sourit gentiment. Non, elle non plus ne souriait pas spécialement en temps normal, elle était d'ailleurs plutôt fermée mais ce masque toujours souriant lui apportait beaucoup de choses. Des amis et une protection. Elle ouvrit la porte avec un soupire.

- Bien... Tu ne me verras plus alors... Adieux Kanda.

Il lui avait dit qu'il voulait qu'elle le laisse. Peut-être avait-il mal comprit, elle lui demandait s'il ne voulait plus jamais la revoir. Alors dans le doute, elle ne le gênerait plus, il avait payé sa dette aussi infime soit-elle. Ils n'avaient plus rien à voir ensemble.

La jeune fille jeta un œil dans le couloir pour être sure qu'aucun surveillant ne arpentait les couloirs, et finit par sortir en jetant un tout dernier regard au jeune homme. Elle finit par retourner dans sa chambre, s'allongeant sur le lit les yeux grands ouverts, attendant que le médicament face effet.

je me coucha sur mon lit les bras croisé derrière la tete et fixa le plafond, en faite malgré les mot que je lui et dit elle na rien comprit, je ne vouler pas vraiment qu'elle me laisse en faite mais bon moi et mes ronde dedans, quelle crétin.