Alice Belevitch
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Date d'inscription : 18/02/2012
Mon personnage
Club: Aucun
Orientation: Hétéro
Âge : 17 ans
 | Sujet: | Alice Belevitch |  Sam 18 Fév - 21:10 | |
| ■ Nom : Belevitch
■ Prénom : Alice
■ Age : 17 ans
■ Statut : pensionnaire
■ Option : Philosophie.
■ Groupe souhaité : Sportive
■ Est ce que vous autorisez le forum à garder votre personnage une fois votre compte supprimé ? Non Description Mentale & Physique I : Mentale Alice c'est la timidité incarnée, elle ne vous regardera jamais dans les yeux, oh non jamais ! Pourquoi ? Car le regard des autres pèse trop lourd. Oui vous l'avez compris Alice c'est le genre de fille au fond de la classe dont on ne sait rien, à peine si on sait comment elle s'appelle. Peu de personnes connaissent le timbre de sa voix, la parole ? Un accessoire inutile qui ne sert qu'en cas d'extrême urgence et si jamais il lui vient l'idée de parler ou de répondre à une question il vaut mieux tendre l'oreille, déjà parce que c'est tellement rare qu'elle parle en public, mais de plus sa voix et si faible, si douce que le moindre bruit la couvre.
Mlle Belevitch au moindre raffut préféra s'éloigner, exclusion volontaire de sa part elle n'affectionne que la solitude. Le contact humain ? Presque à bannir, pas qu'elle ne le supporte pas, mais elle ne sait pas comment interagir avec les autres, elle prend peur, s'excuse puis cours. Oui parce que courir c'est ce qu'elle c'est faire le mieux, ce pourquoi elle peut encore se sentir libre. La course c'est le
moyen d'avoir des ailes, plus aucune contrainte et quand on cours on a besoin de personne, juste de soi.
Alice n'est ni gentille ni méchante, vous lui demander un service elle penchera la tête sur le côté puis partira dans votre direction opposée sans vous répondre. Il faudra s'accrocher pour attendre quelque chose d'elle. Et puis même si tous les signes prouve qu'elle est fragile, faible et facilement manipulable c'est juste une image, elle choisit la facilité, car il est plus facile d'être comme ça, faible et d'être mise de côté, que de s'affirmer et de s'attirer tous les ennuies. L'adolescente restera de marbre si vous l'insultez ou la frapper ou même si vous êtes gentils avec elle, ce n'est pas qu'elle soit hautaine, qu'elle s'en fiche de vous c'est juste qu'elle ne comprend pas, elle pensera donc plus à un acharnement passager qui disparaitra si elle joue le jeu que vous voulez.
On pourrait la prendre pour une personne douée à l'école, il n'en ait rien. A peine si elle décroche la moyenne, mais les professeurs pourront toujours la pousser à faire mieux, la convoqué elle préféra dormir en cours pour réserver ses forces a son activité favorite. Ce pourquoi elle s'est baladé d'école en école avant d'atterrir ici, dossier minable sans aucun effort, Alice aurait-elle des capacités intellectuelles qu'elle n'exploite pas ?
Alice c'est donc une fille banale, pas franchement intéressante et pourtant elle en renferme des secrets, des douleurs.
Alors, serait vous la personne qui la brutalisera ? Celle qui voudra la socialiser ? Ou la laisserez vous pourrir dans un coin ?
II : Physique
Alice ... Alice c'est une tâche blanche, une absence de couleur dans ce monde si animé. Alice c'est comme un fantôme, une page vide. La seule once de couleur seront ses joues et ses lèvres légèrement teintée de rose. Le reste ? Vous ne le remarquerez pas. Notre adolescente de son petit un mètre 60 et de ses 44 kilos presque invisibles pourra se faufiler partout. Mais malgré sa petite taille, les jambes d'Alice sont élancés ce qui l'avantage pour une des seules activités qu'elle aime faire courir. Grâce à cela l'adolescente à un corps élancé musclé sans non plus tombé dans l'extravagance.
Mais attardons nous sur ce qui fait la force d'Alice, son visage. Ah son visage ! Plutôt ses yeux, ce sont ses deux petites bille grises claires tirant sur le bleu qui font tout son charme. On s'y perd, on s'y noie dans son regard, malgré son absence de vie, même si on a l'impression qu'elle ne nous voit pas quand elle nous regarde. Même s'il n'y a aucune émotion qui s'en dégage, ses yeux ils restent fascinant et accompagne parfaitement son petit nez légèrement retroussé et ses petites lèvres fines. Alice ressemble donc à un poupée avec son visage ovale encadré par de fin cheveux noirs, peut être est-ce sa couleur de cheveux qui accentue sa blancheur ? Peut être est-ce aussi le fait qu'elle ne se maquille pas trouvant ceci bien inutile puisqu'il faut tout refaire dans l'heure d'après !
La seule chose qui n'est pas naturelle chez elle c'est son tatouage qu'elle a sur le poignet, un code barre avec une série de chiffre " 1 133765 633466 6" une suite de numéro incompréhensible pour un inconnu ! Mais qu'est-ce qui se cache derrière ce tatouage ?
Les vêtements de notre adolescente sont accordés avec son apparence, bien que ses vêtements ont tendance à être court puisqu'elle n'aime pas être gênée par ces derniers. De plus elle s'accorde très peu de couleur ses vêtements sont donc la plus part du temps blanc, noir gris. De temps en temps vous pourrez l'apercevoir avec des touches rouges, mais cela restera très occasionnelle.
En conclusion Alice est une poupée, une poupée qu'on pourra jeter dans un coin puis oublier. Une poupée mignonne certes, mais une poupée. Un être vivant ou les émotions faciales ont été oubliés depuis longtemps...
Le 4 décembre devait naitre un garçon, un petit garçon qui pourrait perpétuer le nom du père, faire grandir les affaires et donner à cette famille un empire. C'était donc ravi que les deux futurs parents allèrent dans la salle d'accouchement, bon j'avoue qu'il n'y avait que le père qui était ravi, la petite dame elle s'était plutôt vas-y que je crie, que je casse les tympans au docteur avec ses « Plus jamais je tombe enceinte ». Enfin passons, cinq heures plus tard on entendit l'infirmière dire d'une voie émue « Oh la belle petite fille ». S'en suivi alors un silence pesant. Le père visiblement trop choquée ne put sortir que « Eh merde » lorsqu'il reçut sa satanée fille dans les bras. Ce sont donc ces doux mots qu'accueillirent notre jeune enfant dans ce beau monde féerique. Son géniteur terriblement frustré de cette mauvaise nouvelle donna son rejeton à une nourrice et pendant deux semaines Alice n'eut pas de prénom, son père voulez lui donner un nom de garçon afin de pouvoir la travestir et sa mère un nom de poupée. Au final l'avis de la mère prima, mais cela n'empêchera pas Mr Sayoko d'appeler sa fille Kei dans l'espoir qu'un jour elle puisse devenir un homme.
Au temps vous dire tout de suite que la désillusion de monsieur fit bien vite son apparition, la petite demoiselle présentait tous les signes de la parfaite petite poupée, il était donc impossible de mentir sur son sexe et sa femme qui ne voulait pas d'autre enfant... La plaie... Bref en résumé Alice c'est un peu la bombe que les Japonais ont reçus le 6 aout 1945. Une enfant pas désiré en tant que fille, qui va couter extrêmement chère, c'est bien connu les filles ça coutent de l'argent et les garçons en rapportent.
Mais le papa se fit une raison, il allait bien éduquer sa fille avec « amour » pour qu'elle lui trouve le gendre parfait, après tout, une fusion entre deux royaumes ne pouvais-t-il pas crée un empire ?
C'est donc dans le monde digne de Disneyland que la petite fit son entrée, au petit soin avec des tonnes et tonnes de domestiques qui lui prêtaient attention, veillé à ce que sa vulnérabilité d'enfant ne la dérange pas. Et Alice/Kei ne devint plus qu'Alice. Mais alors pourquoi une enfant pourri gâtée comme notre adolescente est devenu si renfermé sur elle-même ?
Il lui a juste suffit d'entrer en contact avec les autres, aller à l'école, sortir de sa bulle protectrice. Oui parce que Alice Sayoko ce n'est pas n'importe qui, la famille pèse plus d'un million et ça tout le monde le sait même les enfants de son âge. Alors, qui ne profiterait pas pour avoir sa part de gâteau ? C'est tentant de se servir lorsqu'on on voit une petite fille qui ne sait pas dire non ! Pour cause ? Son éducation un "non" est égale à un coup de bambou ! Vous vous êtes déjà pris un bambou en pleine figure ? Non ? Et bien je ne vous le conseille pas ! Traumatisée la petite n'ayant jamais appris à contester fut vite racketter, gouter au primaire, argent au collège, tout y passer. Même les professeurs demander des faveurs, lui disais qu'elle ne passerait jamais en classe supérieures même si elle avait de bonnes notes. Oui, avant Alice c'était la petite fille devant de la classe, cheveux natté sur les côtés, petites lunettes toujours la main levée. Volontaire, c'est le mot qui la qualifierais au mieux, toujours être la pour les autres, demander- lui de l'argent ? Pas de problème elle vous en donnera, volant sa propre famille pour être avec les autres. Oui Alice ne voulais qu'être accepter alors pourquoi étais si seule maintenant ?
Pour cela il suffit de regarder l'année de ses 12 ans, même classe, même professeur, même train de vie. Souffre douleur, Alice avait de plus en plus de mal a trouvé ce que les personnes lui demander. L'adolescente lorsqu'elle eut 12 ans ne vivait plus que sur la violence qu'elle subissait, chez elle, à l'école. Aucune échappatoire possible. C'est là qu'elle pris goût pour la course, au début ça lui servait pour s'enfuir aussi vite que possible quand on lui en demandait trop, mais de plus en plus ces instants de solitudes devinrent libérateur. De passe-temps la course devint un sport sur lequel Alice donne toute son énergie, courir revient à crier, s'exprimer et grâce à cela elle n'eut plus besoin des autres. Finis la rechercher de l'acceptation de l'autre, finis les bonnes notes à l'école, finis les "oui papa" / "oui maman".
Mais Alice n'est toujours pas comme on l'a connue au contraire, elle étais beaucoup moins craintive que maintenant, n'hésitant pas de temps en temps à crier voir se battre. Devise de ses 14 ans ? "Sex Drugs and Rock'n'roll". Période je m'en foutisme, beaucoup ont parlé de crise d'adolescence c'est même exactement cela, Alice se cherche, veut savoir ce qu'elle est, ce qu'elle vaut.
Mlle Sayoko devint une jeune des rues, trainant le soir, arrivant le matin parfois amoché parfois non, elle a appris à se défendre, à se battre pour sauver sa peau de petite riche prisée. Dans la rue on la prend pour un extraterrestre, une fille a plumé facile et a l'époque c'était tout le contraire, allez la voir et elle vous refait le portrait comme jamais. Mais c'est ce qui causa sa perte, sa descente en enfer ou plutôt le retour à l'enfance brimée et traumatisée.
16 décembre, 2heures du matin, le jour de son anniversaire, taux d'alcoolémie ? Il ne vaut mieux pas le savoir disons qu'elle est un peu éméchée. Criant dans la rue, seule comme à son habitude, cherchant des noises a qui le voudra bien, ce jour-là elle aurais mieux fait d'aller se coucher. Mais comme on dit on n'échappe pas à son destin.
Alice se frotta a plus fort qu'elle, tout est allé si vite pour notre adolescente, une bousculade, de sa faute, la voie d'Alice raisonnant dans la rue, criant sur cet homme sur son chemin. Énervée pressée, l'adolescente le poussa pour continuer sa route, tout aurais été parfait si cela avait pus simplement s'arrêter là. Mais non ! L'homme sortit un couteau et bam le drame, des couteaux, des images floues, des paupières lourdes et un bruit, le bruit d'un corps s'étalant par terre... Une flaque de sang... Et puis plus rien...
...
Deux mois plus tard, alors qu'on avait préparé le cercueil, l'épitaphe gravé et qu'on attendait plus que le moment ultime ou le cardiogramme annoncerait 0 ont entendis un bruit, un vase se cassait de la chambre 103. Panique ? Oui ça fait deux mois que plus rien ne sort de bon de cette chambre, une adolescente abandonnée de ses parents qui ne sont même pas venue une seule fois à part pour régler le montant de la chambre. Agitation, tout le monde se précipite au tour de cette petite fille, maigre, blême, cette dernière a les yeux ouverts, ils vous transpercent veulent tout dire sans rien laisser transparaitre. On prévient les parents, plus ou moins dérangés d'apprendre que leur fille a survécu, ce fardeau que personne ne voudra jamais. Ils arrivent, oui elle a les yeux ouverts et alors ? Elle ne sait plus parler, plus marcher ! Hors de question que les gens de la haute société comme ils aiment si bien le penser s'occupe d'une chose comme elle. Déshumaniser par ses parents, elle dut réapprendre toute seule. Sa préoccupation ? Réapprendre à courir comment avant ! Pour cela ? Se dépasser jusqu'en a en vomir! Le résultat ? Une adolescente qui peut courir vite, plus vite que la normal, une voie dans laquelle elle veut se diriger. Oui Alice veut faire de la course sa vie et en silence elle commença à s'entrainer régulièrement.
Lorsque l'état d'Alice se stabilisa et qu'elle put reprendre une vie normal ses parents voulurent se débarrasser d'elle en quelque sorte sans la renier, non, car Alice avait attirée la sympathie des investisseurs et les parents de cette dernière avaient joué la carte des parents dépassés, dépressifs. Alors, pour que tout le monde soit content et pour que l'adolescence puisse vivre comme elle le voulais, Alice déménagea pour ce faire interner au pensionnat Wakai lorsqu'elle eut 17 ans. Mais pas sous le nom de Sayoko, non cela reviendrais à revivre ce qu'elle a vécu, la petite pris donc le nom de sa mère, un nom de russe comme elle l'était de moitié, Belevitch. Un nom qui n'évoque rien au Japon de quoi de permettre à Alice de pouvoir vivre comme elle le souhaite.
C'est-à-dire de ne plus jamais se faire remarquer, ne plus vouloir s'intégrer, ne plus avoir envie de quelque chose à par de courir, courir toujours plus vite.
La famille Sayoko disparut donc de la surface pour ne laisser qu'une fille, une adolescente ni trop riche ni trop pauvre. Une fille banale qui n'intéresse personne à part peut être le professeur de sport pour ses facultés.
Alice Belevitch devint donc muette, discrète afin de garder le secret d'Alice Sayoko...
Dernière édition par Alice Belevitch le Dim 19 Fév - 16:26, édité 3 fois | |
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