Kiseki est accompagné pour inaugurer sa nouvelle chambre !

Kiseki et Ayumu étannt toujours au cinéma, le film se passa pendant qu'ils se regardaient intensément pendant de très longues minutes. Puis, ils décidèrent de rentrer au pensionnat, il la prit par la main, et ils passèrent par l'entrée du pensionnat, mais avant, ils parcoururent quelques kilomètres pour revenir à Wakai. Ils étaient trempés, et ils se dirigèrent rapidement vers le dortoir des garçons, puis, Kiseki prit sa clé et ouvrit la porte, alluma la lumière et alla s'asseoir sur son lit, attendant qu'Ayumu le rejoigne, il ouvrit une bouteille qu'il avait dans son sac et en but une petite gorgée, puis la tendit vers Ayumu.

-T'en veux ? Tu fais comme chez toi ici, tu veux faire quoi maintenant ?

Certains diront qu'il y a sous entendus, d'autres n'y penseront même pas.

Se tenant la main, Kiseki et moi prenons la route vers le pensionnat. Quelques kilomètres plus tard, nous arrivons devant un établissement. Un moment, je me demande où est-ce que je suis. Puis, je reprends mes esprits, on est à Wakai. Je ne suis pas encore habitué à cet endroit, j'ai même failli prendre un chemin pour me rendre chez moi. Touchant mes vêtements, je remarque que je suis encore trempée, toutefois pendant le film ça a un peu sécher. Je suis mon copain jusqu'au dortoir des garçons. Kiseki sort une clé de sa poche et l'insère dans la serrure, pour ensuite ouvrir la porte et se diriger vers son lit. Une fois assise sur le lit, je remarque une bouteille subitement apparue devant mes yeux. Je tourne la tête et voit que c'est lui qui me la tend. Je la prend et me permet de boire trois gorgées, avant de la lui redonner docilement (façon de parler hein). Il me demande ce que je voudrais que l'on fasse maintenant. Je ne crois pas qu'il y est de sous-entendus derrière cette question, mais je ne peux m'empêcher d'y penser. Pwaah, faut dire qu'à mon ancienne école je me tenais avec des gens assez louches... Je rougis, certainement pour la première fois de toute ma vie, puis détourne le regard comme si de rien n'était. Soudainement, mon cellulaire se met à sonner ce qui me fait sursauter. Je m'excuse à Kiseki et décroche.
-Allô ?
-Salut Ayumu, c'est papa.
-Hey papa ! T'vas bien ?
-Oui oui. Bon, écoute-moi, j'ai quelque chose à te dire.
Oh là là, j'espère que ce n'est pas ce que je crois... Je ne vois pas d'autres possibilités étant donné que mon père n'a jamais rien à me dire.
-Attends, attends. Me dit pas que...
Je ravale ma salive.
-Que maman... ben... est à l'hôpital ? Hum... Je suis pas trop prête à être grande sœur, tu sais. Alors bon... Et je voudrais pas terroriser votre bébé. Surtout pas.
-Euh... Ayumu, tu y es pas. Je dois te demander une chose très importante... Est-ce que tu es bien avec nous ?
-Quoi mais c'est quoi cette question... Bien sûr que je suis bien avec vous. Qu'est-ce qu'y se passe papa ?
-Bon, vaut mieux te le dire... Tes parents biologiques... ont pointés leur nez à Tokyo. Et je ne sais pas comment ils ont su, mais ils sont venus nous voir et nous ont demandé à te ravoir. Je sais à quel point tu as souvent pleuré en pensant à ta chère vraie mère. Tu disais t'ennuyer d'elle. Maman et moi voulons ton bonheur, et si tu veux retourner avec elle et ton papa, nous ne t'empêcherons pas.
-Mais... c'est toi mon papa. Puis, ma mère je la déteste ! Et mon père aussi ! ce sont de vrais... en tout cas. Bon, je vais te laisser, on en reparlera plus tard, je suis avec quelqu'un.
Sur ce, je raccroche. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Une blague de mauvais goût ? J'espère que oui, en tout cas. Je fixe le plancher, le regard perturbé. Puis, je me tourne vers mon petit ami, tentant un sourire.
-Je suis vraiment désolée... J'aurais pas dû répondre, c'est impoli.

Kiseki commença à se rapprocher d'Ayumu, quand son portable sonna.
Elle décrocha, et parla avec son père pendant quelques minutes, puis elle raccrocha et s'excusa, parce que c'était impoli de sa part d'avoir répondu.

-T'sais, j'suis pas comme ça, tu fais ce que tu veux ici ! On est pas dans une famille de bourge avec toute les bonnes manières. Si t'as envie tu fais !

Puis il réussit à s'approcher, puis l'embrassa pour la faire tomber sur le dos, lui dessus. Et le corps de la jeune femme étalé sur le lit. Il la réembrassa.

HRP: Désolé du petit post, mais ma mère voulait pas que je reste.

Je n'ai pas l'habitude de m'excuser pour une telle chose, mais là impossible de revenir en arrière. Et puis, je ne savais pas si c'était quelque chose d'important ou pas. Kiseki me répond tout simplement que je fais ce que je veux et qu'on est pas dans une famille de bourge. Pas faux. À cela, je ris un peu. Je ne m'imagine pas gosse de riche avec toutes les bonnes manières. Oh, ouach, finalement j'aime ma vie ! Les yeux fermés en ricanant, je sens quelque chose venir se poser sur mes lèvres. Enfaites, je sais ce que s'est, je ne suis pas imbécile. J'ouvre les yeux et tombe par en arrière, mon corps étalé sur le lit de mon petit ami. Il me m'embrasse une nouvelle fois et j'entoure sa taille de mes bras. Pas trop sûre de ce que je fais et si ça va le gêner, je fais pénétrer ma langue dans sa bouche et la tortille avec la sienne. On pourrait croire que j'ai de ''l'expérience'', mais ce n'est pas le cas, Kiseki étant mon premier véritable amour. Maintenant je crois ma mère qui me dit qu'embrasser et frencher ça vient tout seul, même pas besoin d'y penser.

HRPG : Pas grave

HRP: J'suis vraiment pas inspiré alors bon, surtout que j'ai plein de problèmes dans la tête, et que mes dents me font souffrir à cause de mon appareil.

Kiseki se retrouva allongé sur Ayumu, il échangea les rôles, se tenant en dessous de la jeune fille pour ne pas lui faire mal, n'importe où.
Puis, elle lui prit les lèvres, et leur langues firent un mouvement de rotation.
Mais, ne sachant pas si le jeune fille était consentante. Il la prit, la déposa lentement sur le lit, pour qu'il puisse se dégager. Puis, il s'alluma une cigarette, qu'il fuma près de la fenêtre. Il enleva son haut, car il avait vraiment très chaud. Puis, se retournant vers sa petite amie, gentillement:

-Tu peux faire ce que tu veux, j'vais un peu me mouiller le torse, j'ai trop chaud. TU m'diras ce que tu veux faire après * petit sourire charmeur *

Le torse de Kiseki était musclé et rien n'obstruait la vue de ce corps, il avait quelques cicatrices de son passé de bad boy, qui le montrait vraiment vriril.
Il entra dans sa salle de bain, et le mouilla le torse ainsi que ses cheveux.
Puis, il ressortit voir Ayumu, toujours sur le lit de sa chambre.

Kiseki décide d'inverser nos positions et vient se mettre sous mon corps. Étalée sur lui, j'hésite à reprendre, mais je n'ai pas besoin d'y réfléchir plus que ça. Mon petit ami vient chercher mes lèvres et les colle contre les siennes, avant que sa langue n'entre dans ma bouche. Au moins je sais que ce que j'ai fais tout à l'heure ne l'a en aucun point dérangé. J'ignore s'il apprécie cela autant que moi. Nos langues font un mouvement de rotation entre elles, puis il me prend et me dépose doucement sur le lit. Il se lève et sort son paquet de cigarette. Il se dirige vers la fenêtre et fume tranquillement alors que je l'observe. Tout ça me rappelle la fois où on m'a proposé une clope. J'ai refusé et mes prétendus amis se sont tout de suite moqués de moi, pour ensuite essayer de me convaincre. Mais non, rien à faire, ça ne me tente même pas d'essayer. Mais que d'autres aient commencé ne me dérange pas le moins du monde, ce n'est pas de mes affaires, ça ne concerne qu'eux. Kiseki enlève son haut, ce qui me donne une raison supplémentaire de le mater je dois dire, pour ensuite se tourner vers moi. Il me dit qu'il va se mouiller le torse parce qu'il a chaud. Rien d'étonnant étant donné que j'ai moi-même l'impression de cuire. Je le regarde faire quelques pas vers la salle de bain, remarquant quelques cicatrices qui témoignent bien de certaines choses qu'il a vécu. Pour certaines d'entre elles, je sais parfaitement depuis quand elles sont là, car j'étais présente. Pour d'autres, je n'en sais rien du tout. Je ne suivais pas Kiseki comme un chien quand même ! Pendant qu'il se mouille, j'attrape le bas de mon t-shirt et le retire doucement. Je crève littéralement, et je ne crois pas que ça le gêne. Je prends un élastique que j'ai accroché à mon poignet et me fait une toque, toute cette épaisseur de cheveux me donne encore plus chaud. Je pars voir s'il n'y aurait pas un ventilateur quelque part, mais non. Bon, ce n'est pas grave, je me sens déjà mieux sans mon chandail. Je retourne sur le lit de Kiseki et me couche dessus, attendant qu'il revienne. Il se montre, les cheveux un peu mouillés ainsi que son torse.
-T'es pas le seul à avoir chaud, oufff !, dis-je pour justifier ma tenue. De toute manière, il l'aurait sûrement deviné par lui-même.

Kiseki alla donc se mouiller un peu, il faisait si chaud dans cette petite pièce qui constituait sa chambre. Il lança derrière lui sa veste, et appliqua de l'eau froide sur son corps. Puis, il revint près d'Ayumu qui avait enlevé son haut.
Ca lui faisait bizarre, mais surtout il se demandait pourquoi elle avait fait ça.
Il sentait un désir monter en lui, puis il s'approcha de la jeune fille. La replaçant sur son corps, lui défit son sous-vêtement, avec ses doigts en passant ses mains sur le dos de la jeune fille. Puis il l'enbrassa. Se demandant ce qu'elle allait faire, il ne voulait pas aller trop vite non plus.

HRP:Francheent désolé, mais j'arrive plus à faire des longs rps sur des fow comme ça. J'essayerai de faire plus la prochaine fois !

Je sens comme un sorte de stress monter en moi, car il s'approche de moi. Je ne sais pas quelle va être sa réaction, je ne lis pas dans ses pensées. Mais sur le coup, alors qu'il fait les cents pas vers moi, je sens un désir plutôt sexuel monter en moi. N'ayant jamais fait l'amour, je stresse à mort. Et oui, c'est pitoyable être vierge à 17 ans, mais j'attendais de trouver quelqu'un que j'aimerais réellement. Bon, ça ne fait que quelques heures que nous sommes ensemble, mais j'en ai envie. À bonne distance de moi, Kiseki défait mon soutien-gorge et je sens ses doigts traverser mon dos. Puis, il se contente de m'embrasser, sûrement en attendant de voir comment j'allais réagir. Je presse ma poitrine contre son torse et sent la chaleur de son corps m'envahir, ce qui me fait frissonner. Je fais un mouvement de rotation avec ma langue autour de la sienne. Puis, je saisis le pantalon de mon petit ami, et descend. Il finit par tomber par terre et j'enlève maintenant son caleçon, me mordillant la lèvre inférieure. Je commence à enlever mon pantalon ainsi que ma culotte, pour ensuite nous faire basculer sur le lit. Je donne des baisers sur son torse un moment, puis fait retourner mes lèvres vers les siennes.