Rouge, rouge, rouge ; la vie en noir !

Crise identitaire

■ Nom : Murakami [村上].
■ Prénom : Hyuga [日向].
■ Âge : Dix-sept ans.
■ Statut : Pensionnaire.
■ Option : Art.
■ Groupe souhaité : Il n'y a que l'embarras du choix... Artiste sauvage ? Racaille artistique ? Intello déchu ? A-normal ? Un fou avec des pinceaux en main, je crois que ça vaut mieux. Par conséquent, Artiste.
■ Est ce que vous autorisez le forum à garder votre personnage une fois votre compte supprimé ? Mine, mine, mine ! Pas touche.

On peut le ranger dans une catégorie ?

« Stupide morale ! »

Dans la tête de Hyuga, c'est le bazar. Le souk. Et sans doute l'avez-vous déjà compris. Intelligent, il adore jouer sur les mots, les situations, les réactions. Très provocateur, le jeune homme n'a peur que de peu de chose - ce qui en passant n'est pas forcément un avantage - et aime attirer le regard des autres. Fonceur, têtu, il ne s'intéresse pas vraiment aux conséquences de ses actes. « Aucun regret, juste le plaisir d'agir », pense-t-il.

En parlant de plaisir, c'est là ce qui guide souvent le comportement du brun. Il suit son instinct, multiplie les expériences de toutes sortes, possède une soif de connaissances intarissable. Hyuga adopte souvent une attitude illogique, ainsi qu'une gestuelle très... ample. Vous pourrez le voir s'agiter dans tous les sens, même s'il s'agit de manger. En d'autre termes, la discrétion n'est pas son fort. Ni la douceur. En effet, il considère qu'il vaut mieux blesser en étant franc que de mentir, et n'a pas vraiment de tact pour annoncer quelque chose de difficile à quelqu'un.

Provocateur, nous disions plus tôt. Et en plus d'attirer la peur dans le regard d'autrui, Hyuga a le plaisir de s'attirer des ennuis, parfois musclés. Autant la folie donc il fait preuve peut le sauver, autant elle peut le faire couler. Elle est une énorme excuse à ses actes. Mais lorsqu'il faut se battre ou malmener quelqu'un, il n'hésite pas à sortir les poings et à foncer dans le tas. Téméraire ; même King Kong, il lui rentrerait dans le lard.

Toujours souriant, il n'en est pas moins violent et ce n'est pas rare de le voir passer son temps en se battant. Hyuga reste cependant quelqu'un de sensible, et bien que ses œuvres soient peu qualifiables de « fleur bleue », il met tout son cœur quand il s'agit de les créer.

Utopiste, rêveur, il vit dans un monde à part et souhaite changer la société actuelle. Paradoxalement, Hyuga ne souhaite pourtant pas en éliminer la vermine et les misères. Après tout, sur qui pourrait-il se défouler ? Et quel intérêt si tous sont au même niveau de richesse, de personnalité, etc ? Autant faire un monde sans mer ni montagnes, tant qu'on y est !

« Vive la chimie ! »

Hyuga est simpleme canon ♥ un Japonais comme on en fait de plus en plus : il est grand, culminant déjà les 1m84 alors que sa croissance n'est pas achevée. Poid plume. Pour sa taille. Non non, vous êtes malpolis de vouloir le savoir. Et puisque vous insistez, vous n'avez plus qu'à deviner. Il n'a jamais été précisé que l'auteur n'était pas un peu dérangé, à l'image de son personnage ; vous vous attendiez à quoi ?

Mais revenons à nos petits moutons... Le jeune homme au poids plume inconnu possède une peau laiteuse, provoquant un contraste avec la forêt d'épis qu'il a sur la tête. Cheveux aile de corbeau, épais, touffus. Assez courts, lisses. Une frange en M. Deux jolies petits yeux bridés desquels brillent des pupilles aussi sombres que des ténèbres. Mais elles luisent. Hyuga adore mettre des lentilles de couleur, parfois blanches, en forme de pupille de chat, ou carrément motif léopard. S'il en trouve un jour...

Son nez est fin, sa mâchoire pointue, son sourire omniprésent très expressif. Carré, musclé, ses bras sont joliment sculptés, à l'instar de ses abdominaux et de ses pectoraux. Sous la ceinture... ses jambes et cuisses sont également bien dessinées. Il possède deux piercings à la lèvre, un au nombril.

Et de quel trou à rats il sort ?

Ce fut lors d'un bel après-midi de septembre 1993, un lundi, le 20 pour être précis, que Hyuga vit le jour à Ulaanbaatar. Si vous cherchez un peu sur un certain moteur de recherches connu de tous, vous remarquerez avec étonnement que c'est le nom équivalent à Oulan-Bator, la plus grande ville de... Mongolie ?!

Ne nous emballons pas, du calme, et évitez de penser que c'est normal, qu'on sait pourquoi Hyuga est un peu mongolien, ce pourrait être vexant pour eux. La question esssentielle reste la suivante : que faisait notre petit garçon et ses parents dans un pays si reculé ?

Très simplement, suite à plusieurs voyages en couple, Nanami et Yu se sont décidés à fuir leur vie tokyoïte pour s'établir en Mongolie. Un coup de cœur. Alors qu'elle travaillait à l'ambassade du Japon et perfectionnait son apprentissage du Mongol après la première année là-bas, son époux était employé à l'hôpital le plus proche. Hyuga naquit la troisième année après leur emménagement.

Ayant pour professeurs ses parents et sa bonne Odval, il sut dès ses cinq ans très bien parler Japonais et Mongol. Par contre, il apprenait l'Anglais à la crèche, mais avait du mal avec cette langue, préférant nettement celles qu'il connaissait. Mais il devint tout de même trilingue, afin d'étudier dans une école américaine.

A force de contact avec la population locale, vu qu'ils appréciaient énormément qu'un jeune étranger connaissent leur langue, Hyuga apprit rapidement l'équitation avec des éleveurs semi-nomades, et était emmené par Odval parmi des enfants mongols pour jouer avec. Petit à petit, ses parents, donc la mentalité restait la même malgré les années, ne voyaient pas d'un très bon œil les relations et activités de leur fils, le poussaient à davantage travailler, et à se montrer plus souvent avec des étrangers. En échange de quoi, il pouvait partir comme il le voulait les week-end pour découvrir les endroits environnants Oulan-Bator à cheval. Cela lui convenait.

A ses dix ans, il participa pour la première fois à la course de chevaux organisée chaque année pour la fête nationale, le Naadam. Il ne gagnera pas les 30km au galop, mais se fera un ami dans la foulée : Narambaatar. Il avait douze ans, vivait aussi à Oulan-Baatar. Ce qui fit qu'ils purent se revoir très régulièrement. Les deux garçons ne se lâchaient presque plus. Ils faisaient des randonnées de plusieurs jours ensemble dans les steppes, eurent leur première cuite, la copine de l'un lui avait été présenté par l'autre, etc...

Mais forcément, ça ne pouvait durer éternellement. Et ses parents, ne supportant plus les hivers mongols et le décalage de leur fils, rentrèrent à Tokyo pour ses quinze ans. Un déchirement. Et un changement fracassant. Hyuga et Narambaatar gardèrent contact par Internet. Heureusement pour le Nippon, quitter la Mongolie l'avait fichu par terre, même si découvrir la capitale de son pays d'origine était passionnant.

Il continua quelques semaines l'équitation, mais quel intérêt de tourner en rond dans un manège quand on a goutté à la liberté des steppes et du désert de Gobi ? En plus, Hyuga n'avait pas l'habitude de ces selles. Fini les chevaux. Il passe juste dès qu'il peut dans un centre équestre pour les voir et parfois s'en occuper, mais rien de plus.

Quant à son insertion dans le système japonais... Une catastrophe. Habitué à travailler juste comme il fallait, il devait tripler d'efforts pour y arriver, d'autant qu'il devait s'habituer aux cours en Japonais. Encore une nouveauté. Finalement, un jour où son professeur l'insulta copieusement pour son devoir raté, Hyuga fit l'imbécile, n'ayant rien à dire. Les premiers mots qui lui passaient par la tête, telle venait la réponse aux cris.

One le prit pour un fou. Ce qui le fit sourire.

Depuis, Hyuga continua sur ce bon chemin. Il était la hantise des professeur et des intellos. Toujours prêt à ficher le bazar, jamais à court de blagues salaces, le garçon se donnait à fond dans son rôle. Il avait son petit lot d'amis et s'en convenait, sans pour autant réduire ses contacts avec Narambaatar, qui lui donnait régulièrement des nouvelles des gens de là-bas.

Mais cela ne suffisait pas, Tokyo était insupportable pour lui, qui venait plus ou moins des steppes. Liberté ! Au moins visuelle ! A force de se retrouver dans des situations embarrassantes par Hyuga, ses parents cédèrent enfin. Ils l'envoyèrent dans un pensionnat éloigné, un endroit plus calme : Wakai. En espérant que son caractère se calme par la même occasion.

Merci miss ~

Mmh... Etrange. J'ai vérifié, d'autres avatars sont de 200x400 pourtant. °_°

Yume... rira bien qui rira le dernier ! ;P

Thanks Ohana, je retiens aussi -_^

Merci Gabi ! \o Quelle jolie signa... /PAN/

Et merci Lia. Mais c'la poisse, j'étais persuadée de l'avoir recadré ! è__é

Yu, t'as quoi contre les nouveaux ? °_°

Hyuga : Si je ne me trompe pas Yu, je t'appelle par ton prénom. Ne t'en fais pas, ça ne me dérange pas les familiarités dès le début ♥


Ouais, je le savais bien qu'il était canon moi \o /PAN/ Merci du conseil Chi' x)

Merci Sawako. Normalement, c'est expédié ce soir (:

Merci Tsu', je suis à deux doigts de rougir ;P

Citation :

C'est moi ou toutes les filles craquent pour les beaux nouveaux?! C'est un forum mangeur d'hommes!! Faites attention les mecs xD

Merci M. Marteau ;P

*ferme la porte derrière Gabi* Alors toi, pour te faire remarquer t'en loupes pas une ! D:

Sinon, fiche finie. Pas extraordinaire, je me suis précipité pour la faire é_è Mes excuses.

Youhou \o
Merci la tigresse ! /sors en lui lançant des fleurs/