Lord V. Mc Dholl, Pr de Philosophie [en cours]

Nom : Mc Dholl Lord par héritage (ceci est une appellation officielle et toujours en cours en Grande Bretagne)

Prénom :Valentin Asentheus Edward

Age : 24 ans

Statut : Membre du personnel: Professeur de Philosophie

Histoire : L'Histoire de Valentin Mc Dholl ne possède rien de très extraordinaire dans son déroulement. Né dans une famille aristocrate de Grande Bretagne, le garçon grandit entouré de tout ce qu'il fallait: amour maternel, droiture paternelle, connaissances, petites cuillères d'argent, valets et cie. V (ainsi surnommé par son grand-frère) n'était pas ce que l'on pourrait nommer une enfant roi, mais sa fine intelligence pointa rapidement et le garçon apprit presque aussi facilement qu'il suffisait d'appuyer sur les bons boutons pour obtenir des réactions très intéressantes (pas toujours agréables) et utilisa sa propre famille pour parfaire ses aptitude charismatiques. Car s'il était un enfant calme et distinguée, ses yeux bouillaient toujours de réflexions et possibilités, de mauvais coup et manipulations à effectuer. Son plus grand plaisir n'était point d'obtenir quelque chose, mais le moyen d'y parvenir.

Passant par des précepteurs puis Harvard, le garçon se dirigea rapidement vers un double-cursus, Philosophie-Psychologie: l'art de connaitre l'humanité pour mieux la contrôler. L'humain et son esprit étant la chose la plus extraordinaire à ses yeux.
La philosophie, au contraire de la psychologie, explorait l'inconnu de l'humanité, ce qui ne relevait d'aucune certitude, les limites du paradoxe humain,tout en lui étant intimement lié. Un véritable plaisir.

Les cours de la Facultés souffrirent aussi de sa propension à suggestionner, tromper tel le meilleur des Marionnettistes. Il y vécut ses premières relations amoureuses, des deux sexes. cet état de fait ne le perturba pas outre mesure, bien qu'il garda sa possible bisexualité pour lui. Cela n'aurait guère fait distingué dans sa noble famille et si secouer les vie d'autrui l'amusait grandement, pourrir la sienne n'était guère son plus grand plaisir.

C'est à cette période, que poussé par des "amis" il accepta plusieurs de ces test pharmacologiques, bien plus pour suivre les évolutions émotionnelles des autres que jouer le Cobaye. Mais cela ne se passa pas comme prévu, lors d'un des ces essais, l'un des produit, sensément usité pour améliorer les sens des malades, entra en conflit avec son organisme. La nouvelle molécule chimique étant considérée comme un pathogène par son propre corps: une forme d'allergie. Le reste de la formule du médicaments, et peut-être des autres essais qui restaient dans son corps, se chargèrent du reste. Valentin resta plusieurs semaines à l'hôpital, les yeux bandés, brulant de fièvre. Il s'en sortit au final sans trop de conséquences, si ce n'était ses pupilles à l'origine noires qui avaient viré au pourpre suivant certaines luminosités. Et sa vue qui avait considérablement baissé. Une histoire de mélanine entre autre..

Entrant dans la vie active très jeune -ayant sauter plusieurs classes durant toute sa scolarité- Valentin Mc Dholl ouvrit directement son propre cabinet de Psychologue, son carnet d'adresse déjà remplit par sa famille, sa petite renommée au sein du campus et son don naturel pour attirer les papillons errants... Cette vie le grisait. De simples mots pouvaient soigner, perturber ou détruire. Le pouvoir qu'il possédait alors lui plaisait, lui procurant bien plus de plaisir que n'importe quelle caresse charnelle. Comprendre le patient, le pousser à se dévoiler devant inconnu qu'il était, découvrir ses pires secrets et..jouer avec. Dans le domaine du raisonnable au début. Puis le Lord devint rapidement plus téméraire, adorant tester, sans ne plus penser à l'éthique de son métier. Il laissa même à plusieurs reprises son charisme et sa beauté aristocratique faire son œuvre. Plusieurs patients de tout sexe passèrent la limite. Et lui souriait.

Mais à force de jouer, d'aller de plus en plus loin, le médecin ne prit plus autant d'attention à assurer ses arrière, bien trop sur de lui, bien trop penché sur ses expériences humaines..

Et le drame éclata. Les journaux s'en emparèrent. L'une de ses histoires charnelles fut violemment sortie de l'ombre de ses murs. Sous le choc- il n'avait guère l'habitude de perdre la main, de ne pas tout maitriser- Valentin Mc Dholl eut bien du mal à se défendre, ses pensées se perdant, lui même perdant ses propres moyens.
Il fut radié de l'ordre des médecins.

N'appréciant plus cette Angleterre qui lui jetait ses tords au visage, qui se faisait un malin plaisir de descendre ce "Lord Concupiscent", l'homme décida de partir. La nouvelle d'un possible poste d'enseignant en Philosophie dans un autre pays, donnée par l'un de ses rares amis- un véritable baroudeur celui-la!- fut tout ce dont il avait besoin.


Après entretient avec la Directrice, qui si elle savait ne dit jamais rien sur sa récente humiliation- il accepta son offre d'enseignement. Il avait un Master de Philosophie après tout, avec mention.


Description Physique :
De taille moyenne pour un homme avec ses 1m76, le Professeur Mc Dholl arbore une taille fine qui pourrait parfois même être considérée comme maigre. De fin cheveux d'un noir de jais encadrent un visage délicat et pâle où trônent deux yeux d'une couleur bien étrange: pourpre. Cette particularité venant d'un fait relaté rapidement dans son histoire.

Valentin n'est pas une personne très musclée, préférant de loin le gouffre des livres que celui de la sueur et du sport, mais les longues marches en solitaire qu'il apprécie faire à l'aurore et au crépuscule sont tout de même parvenues à entretenir un minimum son corps.

Lord de son pays, la Grande-Bretagne, il possède de nombreuses manières dites aristocrates, n'élève que rarement la voix et semble toujours faire attention à ses postures et rendu. Son style vestimentaire s'en ressent, l'homme s'habillant la plupart du temps de façon riche et quelque peu old school: vestons, pantalons de toiles, montre gousset, chaussures cirées, cravate ou noeud papillon. Ses comportements et paroles peuvent d'ailleurs parfois choquer par rapport à cette apparence qu'il entretient avec soin...

Charismatique, intriguant et à la beauté froide, il laisse rarement indifférent.

Dernier petit détail que tous remarquent, l'enseignant porte régulièrement une paire de petites lunettes, bien qu'il possède aussi des lentilles.


Description Mental : (3 lignes mini)

Attirance sexuel : Valentin aime tout ce qu'il peut manipuler. Ce n'est pas le corps qui l'attire, mais la personnalité de la personne, son potentiel manipulatoire, ses ambitions, ses réactions. Une personnes molle de caractère qui rendrait sa vie monotone sans aucun intérêt ni jeu n'aurait pas même un regard de sa part.

A partir de là, tout est possible...