Un peu de repos [Libre]

" non lia ces ne son pas les gens...en fête je ne me son jamai a ma place nul pare"

Je posant aussi ma tête sur son coussin,etonda les bras et me mie a baier, et ferma les yeux.

Il feu dire que malgré tous jeté fatiguer, entre les cour mon entre m'en de se matin eu dojo, je commençer a être fatiguer.

Lia sourit et, le voyant peu à peu s'endormir elle tira la couverture pour le mettre dessous, il pouvait dormir là, après tout ce n'était pas un mauvais garçon qui voulait la déshabiller au premier regard. Elle éteignit la lumière et profita de l'obscurité pour enlever son peignoir et le rejoindre sous les couvertures. Le prenant dans ses bras elle lui murmura comme une berceuse douce et bienveillante.

- Tu seras toujours le bienvenue dans mes bras, si tu ne sais pas où aller, je serais là pour toi.

Fit-elle en déposant un léger baisé sur sa tête. Elle était fatiguée aussi, mais elle ne dormirait pas, comme toujours, elle fermerait les yeux et somnolerait un peu, gardant sa conscience toujours en éveil.

Je mendormi profondément, mais mes sonse toujours en evaile gente dit lia me dir ces quelque mot

- Tu seras toujours le bienvenue dans mes bras, si tu ne sais pas où aller, je serais là pour toi.

a ces mot je souri

" je sai lia"

posa ma mains sur la sienne.

Lia sourit et le garda dans ses bras toute la nuit. Les yeux mi-clos, elle caressait les cheveux du jeune homme en pensant qu'il était très gentil, peut-être trop gentil et que, si elle n'avait pas été aussi douce et protectrice, si elle avait été méchante et cruelle, elle aurait pu le faire souffrir. Mais elle, tout ce qu'elle voulait, c'était le voir sourire, qu'il se sente bien ici, qu'il ait un petit coin de paradis même si ce n'était pas tout le temps. Elle sentait la chaleur de son corps contre elle, traversant ses vêtements et la berçant d'une douceur incomparable. Oui, si elle avait bien quelqu'un qu'elle voulait protéger, c'était bien lui.

La nuit fut moins longue que d'habitude, elle qui tournait en rond dans sa chambre comme une panthère dans sa cage, ce soir là, elle resta allongée, presque endormis mais sans jamais baisser sa garde au cas où son instinct de prédatrice remonterait. Elle attendait patiemment que Kanda se réveille. Voir s'il avait bien dormit.

Toute la nuit dans ces bras, pour une foi de puit bien l'on ton je navai pase une nuit, une nuit a dormir, son me reveiler tout les minute, sons cochemare son devoir me reveiler en aurlon, je croi que se la premier nuit ou je peu me lesser aller, jouvri un oeul et vie lia son sourire qui me recheufer.

" bonjour lia "

Les yeux de Kanda s'ouvrant au petit matin étaient un ravissement pour Lia, il semblait si paisible. D'une main aussi douce qu'à l’accoutumée, elle dégagea une mèche de cheveux sur le front du jeune homme en lui offrant son plus beau sourire.

- Bonjour Kanda...

Elle ne lui demanda pas s'il avait bien dormis, il avait l'air calme et détendu, durant la nuit il n'avait pas gigoté dans tous les sens, n'avait pas pleuré, crié ou même donné des coups partout. Elle en avait conclu qu'aucune ombre n'était venue troubler son sommeil si profond. La jeune fille le laissa se réveiller lentement, après tout ils n'était pas pressés, il n'y avait pas cours aujourd'hui. Puis, délicatement elle se leva, se penchant d'abord sur lui pour déposer un doux baisé sur sa joue en murmurant à son oreille.

- Je vais faire un peu de thé...

Elle alla donc préparer l'eau bouillante en chantonnant joyeusement, sans pour autant remettre son peignoir, il n'était plus tellement nécessaire non ? Et puis si ça le gênait de la voir en robe de nuit il n'avait qu'à le dire et elle remettrait son par dessus.

" oui lia je veux bien un peu de thé "

Je me réveil calme détordu, m'assi sur le lit leva les bras pour m'étendre balai, mes cheveux en pagaille et enmeler, a moitier réveier.

La jeune fille sourit en amenant deux tasses chaudes, en tendant une à Kanda avec un léger sourire amusé par sa coupe de cheveux improbable mais tellement moins officielle que d'habitude que ça en devenait attendrissant. Elle se surprit à observer tout son corps alors qu'il n'était même pas encore réveillé. Que faisait-elle ? Non mais ça ne se faisait pas de mater ainsi un jeune homme ! Elle détourna le regard et s'empressa d'amener aussi de quoi manger sur un petit plateau.

- Petit déjeuné au lit... Monsieur est servit.

Fit-elle amusée, bien que ses joues soient devenues rouges à force de le regarder.

Elle me tendit une tasse de thé avec un léger sourire amusé par ma coupe de cheveux improbable, je la regarda leva un sourcil, pourquoi me ragarde telle comme ça ??. Mi ma main dans mes cheveux.

" désole lia.... ces ma tété le matin "

Elle observa tout mon corps alors, elle se dit, Non mais ça ne se faisait pas de mater ainsi un jeune homme ! Elle détourna le regard et s'empressa d'amener aussi de quoi manger sur un petit plateau.et me dit:


- Petit déjeuné au lit... Monsieur est servit.

" voio lia je suis gâter merci "

Elle rouges à force de me regarder.

Je la regarda et la vie roug, j'avez dit quelque chos qui ne faler pas, pourquoi rougise telle , ou été le fête que je soi torse-nu, sa dever sûrement la déranger, ne dit pas un mot et je bouvet mon thé .

Lia se mit à rire poliment et secoua la tête.

- Non non, tu n'as pas à t'excuser, j'aime bien comme ça ^^

Fit-elle en ordonnant un peu les cheveux du jeune homme histoire qu'il soit un peu plus présentable. Elle se mit à siroter son thé à son tour tout en continuant à jeter des regards discrets au jeune homme. Elle ne s'en était pas vraiment aperçue avant, ne faisant pas attention aux garçon, mais il était vraiment beau, elle n'avait aucun doute sur le fait que s'il avait moins mauvais caractère il trouverait sans problème un groupe de fille pour l'aduler. Elle rougit mais posa tout de même sa question gênante.

- Dis moi Kanda-kun... Tu... Tu t'intéresses à une fille à Wakai ?

Juste histoire de savoir, loin d'elle l'idée d'être intéressée par une quelconque conquête, mais elle était curieuse, c'était sa nature que voulez vous.

Elle me posa cette question:

- Dis moi Kanda-kun... Tu... Tu t'intéresses à une fille à Wakai ?

Mes toufa avec mon thé, je nosai pas lui dir oui, oui pour elle.

" heu.... N.... Non lia "

Lia eut un sursaut en l'entendant avaler le thé de travers. Mais ? Qu'est-ce qu'elle avait dit de si fort ? Oui bon d'accord ce n'était pas une question anodine ni même très polie mais que voulez vous, elle était comme ça. Saisissant Kanda pour voir si ça allait, elle se rendit compte qu'elle le prenait dans les bras, sentant sa peau nue contre la sienne. Elle rougit comme jamais, elle qui était si pale elle ressemblait à une tomate tant elle était gênée et déboussolée. Elle se tourna pour que Kanda ne la voit pas ainsi. Que se passait-il ? Elle n'allait quand même pas craquer pour lui non ! Elle était Lia, libre comme l'air, et s'amouracher d'un garçon était une preuve de faiblesse... Du moins c'est ce que disait sa mère. Elle posa ses mains sur son visage. Elle était brulante tant elle commençait à paniquer. Non non et non ! Elle ne voulait pas avoir de sentiment pour personne ! Elle finirait forcement par lui faire du mal !

- Dé... Désolée...

Bégaya-t-elle sans lui montrer son visage.

Je voier bien que quelque chos la gênée, elle me prie dans ces bras je s'enter sa peux contre la mien, son parfin, mon coeur se mi a battre la chamade a chinquin de ces toucher, bonçon jeté entrain de tombe amoureux, moi qui mette promi de ne plus jamai aimer.

je la vie détournez la tete, mi ma main sur sa goux pour quelle me regarde, son lui dir un mot.

Lia ferma les yeux, elle sentit une main douce contre elle et frissonna en se crispant. Quand elle rouvrit les yeux elle tomba juste face à lui, le regard plongé dans le sien par inadvertance. Elle ne pouvait pas rougir plus, sinon elle l'aurait sans doute fait, elle pouvait presque sentir son souffle sur ses lèvres, non en fait, elle le sentait vraiment. Elle commençait à trembler, elle voulait s'enfuir, courir très vite et très loin pour lui échapper, mais pour une raison qu'elle ignorait, son corps refusait de lui obéir, comme négociant avec sa tête pour pouvoir rester ainsi assise.

- Ne... ne me regardes pas comme ça...

Fit-elle en baissant les yeux et d'une voix non pas méchante mais plutôt apeurée. De quoi avait-elle peur ? Elle avait des armes plaquées dans toute la pièce, elle pouvait le combattre et le vaincre, elle était dans sa propre chambre et pourtant elle n'avait jamais autant eut peur de sa vie.

elle me dit: - Ne... ne me regardes pas comme ça...

Pour quoi avez telle aussi peur de moi, Queseque javai pu fair de mâle, pour moi elle été la seul a avoir reuçi a me fair ressentir un telle sentiment, pourquoi se braque telle a se poin, je narive pas a détourne le regar d'elle a la lâcher, pour quoi, le destin, ou commeçes a avoir des sentiment je suis perdu.

" lia je ne te veux auquin mâle tu a confiense en moi "

Lia tremblait comme si elle avait froid, mais en réalité la pression était juste trop grande pour elle. Elle ne savait pas, elle ne comprenait pas, son corps voulait faire quelque chose mais était-ce gentil ou voulait-il frapper Kanda ? Elle ne saurait dire, elle voulait juste arrêter de se poser des questions, de sentir son cœur battre si fort dans sa poitrine qu'elle avait l'impression qu'il allait exploser. Elle Posa sa main sur celle de Kanda, difficilement et toujours tremblante et hésitante. Elle finit par lui dire, d'une voix faible et fuyante.

- Je sais... C'est en moi que je n'ai pas confiance... Je... Ne veux pas te faire de mal moi... J'ai peur... j'ai tellement peur...

Finit-elle par avouer. Quand ils s'étaient combattus au dojo, elle avait faillit l'étrangler lors de sa méditation juste parce que son corps l'y obligeait. Alors comment ferait-elle si jamais elle perdait encore le contrôle ? Que lui ferait-elle ? Il y avait tant d'arme dans cette chambre qu'elle pourrait le tuer sans même s'en apercevoir. Et ça il en était hors de question.

Ma mais poser sur sa goux mon pouse qui caresse ces lèvre.

" lia de pui bien l' onton j'ai oublier ces que été l' amitier tu me la reapri, même si cette amitier je ne la corde qua très paus de personne tu et la seul lia "

Kanda lui caressait les lèvres, quelle douce sensations... Elle ferma les yeux pour savourer cet instant, elle entendait sa voix lui murmurer des paroles douces et tendres. Sa voix... Il lui disait qu'elle était la seule à avoir eut droit à son amitié et ce depuis longtemps. Sur le moment, le cœur de Lia cessa de battre, comme suspendu dans le temps. Elle rouvrit les yeux d'un air d'incompréhension et lui demanda.

- Tu.. veux être mon ami ?

Sur le coup, cette question était stupide, mais à vraie dire pour elle c'était comme si tout dans son corps c'était arrêté, qu'elle ne respirait plus et son cœur ne bougeait plus. Amis ? Juste Amis ? Ah... C'est vrai... Comment avait-elle pu croire qu'il pouvait ne serait-ce que... En plus il lui avait dit qu'aucune fille ne l'intéressait, elle avait été idiote de paniquer alors qu'il n'y avait pas lieu d'être. Il n'était pas amoureux d'elle, mais elle... elle... pourquoi son cœur avait-il si mal soudain de se rendre compte de ça ? De ce dire que Kanda la voyait simplement comme une amie ? Elle ne savait pas, bon sang, son petit cœur ne savait pas ce qu'il voulait ! C'était la première fois de sa vie, qu'elle se sentait rejetée par un homme. Elle avait l'impression... Mais il caressait toujours ses lèvres, c'était si doux et si tendre, était-ce vrai que ça soit juste un geste d'amitié ? Elle en doutait. Mais lui même avait dit qu'il n'aimait aucune fille pour le moment. Sans qu'elle en ait le contrôle, de petites larmes vinrent couler à ses yeux alors qu'elle essayait de sourire à Kanda. C'était donc ça, aimer sans être aimer ? A ce moment là, elle voulait juste disparaitre, s'allonger sur son lit et ne plus se relever, elle se sentait si vide et... si triste. Voila pourquoi elle ne voulait pas tomber amoureuse, ça faisait souffrir tout le monde.

Elle me répondit :

- Tu.. veux être mon ami ?

En fête pour elle je resonter bien pluse que de l'amitié, de l'amour je croi, je ne savai plus a quoi sa resemler l'amour, alor pour quoi je lui dit amitié con mon coeur dit amour, je posa ma tete sur son fron et lui dit:

" pardonne moi lia "

Ferma les yeux, je nariver pas, pas a lui dire je t'aime, ou même a lui montre.

Lia pleurait maintenant, elle avait les yeux clos et avait beaucoup de mal à retenir ses sanglots. Il ne fallait pas qu'elle pleure, ce n'était pas bien, ce n'était pas être forte. Pourtant les larmes coulaient toutes seules sans qu'elle puisse les arrêter. Bon sang, pourquoi fallait-il qu'elle tombe amoureuse du seul garçon de tout Wakai qui ne la voyait qu'en amie ? Il avait posé son front sur le sien et elle ressentit une nouvelle vague de tristesse l'envahir. Ce n'était pas juste, pourquoi fallait-il toujours qu'elle enchaine les tristesses et la solitude ? Il lui demanda de lui pardonner, sur le coup elle eut un petit rictus semblable à un sourire triste. Essayant de parler mais n'ayant plus de voix, elle se contenta de murmurer doucement.

- Pourquoi tu t'excuses... Tu n'as rien fait de mal... C'est... Ma faute.

Et oui, encore de sa faute et toujours de sa faute. Si elle n'était pas si faible elle ne pleurerait pas ainsi et Kanda n'aurait même pas eut à s'excuser. Il devait se sentir coupable le pauvre, et tout ça à cause d'elle. Sur le coup, elle n'avait pas su retenir ses sentiments et voila le résulta. Catastrophique. Elle voulait rester seule, pouvoir pleurer toutes les larmes de son corps sans que personne ne la voit ainsi. Elle se détourna de Kanda et s'éloigna légèrement, la tête penchée en avant, abattue.

Elle me dit:

- Pourquoi tu t'excuses... Tu n'as rien fait de mal... C'est... Ma faute.

" non tu n'es pour rien lia... pardonne moi lia... Mai j'ai bien pluse que de l'amitié pour toi... Mais aimer et bien plus grand que l'amitié...et j'ai besoin de temp... de temp pour réapprendre le mot aimer "

Je vie une larme sur ces yeux, elle détourna la tété de moi, et comme pour lui montre mes mot la ramena ver moi.

Elle c'était résignée et voila qu'il lui disait qu'il ressentait plus que de l’amitié ? Il jouait avec son coeur et elle n'aimait pas ça... ou alors il disait seulement ça pour qu'elle soit moins triste, l'attirant à nouveau vers lui. Elle ne put s'en empêcher, elle se retourna vivement, comme pour le frapper, avec autant d'ardeur mais à la place, elle le prit dans ses bras et se colla contre lui, comme une enfant qui pleure, elle voulait l'avoir près d'elle, a chaque fois qu'elle s'était sentie seule c'est lui qu'elle cherchait, quand elle avait eut mal à la tête c'est à lui qu'elle a pensé pour l'aider, quand elle ne voulait pas rester seule elle était partie le chercher au dojo... Elle se rendait finalement compte que cela faisait bien longtemps que son cœur avait décidé de la faire souffrir. C'était donc ça le destin ? Quelle ironie.
Mais le sentir ainsi contre elle la rassurait, c'était vrai, il était toujours là, elle pouvait toujours être à ses cotés, même s'il ne l'aimait pas et que sans doute son cœur finirait par succomber à la tristesse, elle pourrait le protéger, continuer de le faire sourire. Elle avait l'impression de s'effacer, Kanda était plus important qu'elle. Et elle c'était toujours juré de faire passer ses... amis avant ses propres sentiments, ses propres intérêts.
Se calmant peu à peu elle essuya les dernières larmes qui coulaient de son visage.

- Pardon... je me suis emportée... Je... Je crois que je suis fatiguée en fait ^^

Fit-elle avec un léger sourire sans joie. Ce n'était pas la peine de faire un caprice, ça ne le ferait pas l'aimer. Elle attendrait, ou s’éteindrait. Elle ne savait pas.

Elle me dit:

- Pardon... je me suis emportée... Je... Je crois que je suis fatiguée en fait ^^

Elle navez rien compri, rien comprit a mes vrai sentiment pour elle, ou ne voulez telle pas comprendre, avec un soupire lui dit:

" ces n'es pas grave lia "

Lia était totalement bouleversée, en fait, elle avait beaucoup de mal à réfléchir tant ces sentiments étaient nouveaux pour elle. Elle n'avait même pas comprit qu'il lui disait qu'il l'aimait. Bien sur, si ça venait d'un autre garçon elle aurait tout de suite pigé, c'était son job de comprendre ce que pensaient les gens, mais lui, elle c'était faite comme une bulle qui l'empêchait de réfléchir et de réagir. Elle se leva avec un sourire très léger. Comme happée par ses pensées elle refusait d'avoir de nouveaux espoirs. C'est vrai, et si jamais il se trompait et qu'il ne l'aimait pas en réalité ? Hein ? Ne serait-elle pas plus triste en espérant quelque chose qui ne viendrait jamais ? Elle ne voulait pas souffrir inutilement, après tout, elle avait déjà eut suffisamment de douleur aujourd'hui. Elle lui répondit juste.

- J'attendrais... j'attendrais que tu trouves les réponses que tu cherches.

Elle se leva pour ranger un peu le plateau repas qu'ils avaient terminé. Posant le plateau sur son bureau et regardant machinalement et d'un geste triste des papiers sans importance posés là.

Cette distance que  j'avait créé entre nous me tuait un peu plus à chaque instant. Chaque secondes loin d'elle me faisait sombrer dans le manque et le désir le plus total. Le désir de sa peau contre la mienne, de son souffle, de son odeur, de ses gestes tendres et de chaque attention quelle me portait, Cet amour, je le trouvais bien plus beau que n’importe quel amour banal entre deux personnes, même si javai besoin de réapprendre a aimer, réapprendre se mot, réapprendre ces geste, Le coup de foudre existait, nous en étions la preuve vivante. La preuve que la passion sans fin existait encore… Que chaque passion était encore vivable à notre époque. Que tout cet amour n’était pas désuet dans la société moderne. L’amour, le vrai existait encore, Mais cet amour était comme un étouffement qui vous serez le cœur à vous en faire mourir de douleur. Malgré tout cela, j’aimais cette douleur qui me faisait tant de bien. Cette douleur qui me disait de rester près d'elle collée pour ne pas souffrir, Je crois que cette sensation était partagée. Elle semblai elle aussi souffrir, mais pas de la même manière, Je souffrais, sans rien dire.

Elle me dit:

- J'attendrais... j'attendrais que tu trouves les réponses que tu cherches.

Mes que voulez dir ces mot, Elle se leva pour ranger un peu le plateau repas qu'ils avaient terminé. Posant le plateau sur son bureau et regardant machinalement et d'un geste triste des papiers sans importance posés là, je ne peux mon pêcher de laproche, lui ten n'a la main, aretha son geste.

Et lui redit ces mot

" pardonne moi "

Re mi mon oau, posa ma main sur la poingner de la porte.